CHEZ TOI OU CHEZ MOI de Mily Black

le pitch:

Il est divinement énervant !

Hugo n’est qu’un sale pervers sadique. Sinon comment expliquer qu’il ne rate jamais une occasion pour lui coller un procès-verbal ? Oui, car monsieur est agent de police et il abuse légèrement de sa fonction pour persécuter Penny à chacune de leurs rencontres. Bon, d’accord, elle a tendance à perdre son sang-froid. Et il se peut qu’il ait aperçu sa culotte Hello Kitty quand elle a escaladé cette benne à encombrants pour y récupérer des meubles. Mais de là à parler d’exhibitionnisme ! Ce n’est pas parce qu’il est beau comme un dieu qu’il peut tout se permettre. Et le dieu en question vient juste d’emménager… au-dessus de chez elle.

Ce qu'en pense D.:

J'ai adoré cette nouvelle. Les joutes verbales entre Hugo et Penny sont géniales. Des petits jeux de mots et de la provocation pour cacher l'évidence: ils craquent l'un pour l'autre.

C'est drôle, c'est frais et un peu chaud aussi. J'ai retrouvé avec plaisir Mily Black, vivement le prochain roman.

4 HOMMES EN 44 CHAPITRES de BB Easton

Le pitch

Après avoir passé des années à essayer de pimenter ma vie sexuelle, j’ai laissé tomber et me suis tournée vers mon journal. À défaut de vivre la passion, je pouvais l’écrire. Pas besoin d’en parler, ce serait mon secret  !
Évidemment, mon mari a trouvé mon journal. Et évidemment, il en a pris de la graine. Alors, j’ai commencé à jouer avec le feu et à influencer Ken avec mes écrits.
Ça a très bien fonctionné… jusqu’à ce que Ken se rebelle. Et j’ai eu la surprise de ma vie.

Ce qu'en pense L. :

Quelle découverte !! J'ai été totalement conquise par ce roman pas (du tout) comme les autres.
Loin des codes classiques de la romance BB Easton dévoile une part de sa vie de couple et elle rajoute dans le sac à dos sa personnalité déjantée. Au fond, au delà de l'humour et du côté un peu trash, l'auteur nous évoque la routine sexuelle qu'un couple peut subir avec l'arrivée des enfants. Ici BB et Ken détiennent un amour profond mais il y a clairement un manque de dialogues et de non dit depuis le début de leur relation. Comme on dit souvent si tu ne peux pas faire passer un message à l'oral, écris le ! Bon ben, BB a été encore plus loin en édulcorant son passé intime et en laissant bien en vu son journal intime intégrant les détails bien mensonges de son passé intime. Sauf que nous lecteur on a la version bisounours puis ...la version cata = la vrai vie de BB. On suis donc les aventures amoureuses de notre narratrice du lycée jusqu'aux années vécue avec Ken son mari.
L'écriture est espiègle, pas commune et qui peut déroutée certaines, personnellement j'ai adoré !
Un vrai coup de cœur !!

INCARTADE de Sarina Bowen

 

Le pitch:

May: Vous connaissez l’histoire de la fille qui entre dans un bar et surprend sa moitié en train d’embrasser quelqu’un d’autre ? Non ? Eh bien, vous êtes les seuls au village à avoir raté ça. Heureusement, Alec est là pour me prendre dans ses bras puissants et m’emmener à l’écart avant que la situation ne dégénère. Et les talents d’Alec ne s’arrêtent pas là. Avec cette alchimie inattendue entre nous, c’est la transition parfaite.

 Alec: Je devrais savoir qu’il ne faut pas sortir avec la petite sœur de mon rival, mais le regard flamboyant de May me fait un effet fou. Elle a besoin que je lui remonte le moral et je suis l’homme de la situation.

Après tout, ce n’est pas comme si j’allais tomber amoureux. Même après une série de rendez-vous plus torrides les uns que les autres, même après avoir pris conscience que nous avons deux points communs : les nuits débridées et les déceptions familiales. L’amour, ce n’est pas mon truc, ça ne l’a jamais été et ça ne le sera jamais. Alors, c’est le petit arrangement idéal.

Personne n’approuverait cette incartade, mais personne n’est obligé de le savoir… 

Ce qu'en pense D.:

Encore une réussite de Sarina Bowen. J'ai adoré la couverture juste magnifique, et comme toujours les lieux et la grande famille Shipley qui est largement à l'honneur dans ce tome.

"C'est l'histoire d'une ancienne alcoolique qui rencontre un barman...." celle là aussi Alec aurait pu la faire. 

On aurait peut être pas parié sur ces 2 moutons noirs, les enfants du milieu écrasés par les aînés et effacés par les plus jeunes. Pourtant May et Alec vont trouver leur voie tant professionnelle que personnelle. Et on peut dire que parfois les bonnes intensions familiales n'aident pas. Parfois il faut prendre son envol et montrer que nous marchons tout seul!

Une lecture parfaite pour un dimanche bien frais de début d'automne.

Ce qu'en pense L. :

Heureuse de découvrir un nouveau tome Made in Vermont en ce début d'automne pluvieux. Cependant, même si j'ai passé un agréable moment je ne dirai pas qu'il s'agit de mon tome préféré. 

En effet même si j'ai apprécié le personnage d'Alec, homme drôle, nature qui va évoluer positivement face à son attirance pour May, j'ai été moins convaincu par cette dernière. 

May est pleine de contradictions tant dans ses choix amoureux que dans ses choix professionnels. J'ai trouvé que le passage entre "j'aime ma meilleure amie" et "j'aime Alec" n'a pas été bien construit. A aucun moment on ressent une transition dans ses sentiments. Elle n'a pas l'air non plus très passionnée par son travail d'avocate ce qui est assez étonnant sachant que les derniers chapitres du livre nous prouverons qu'elle est brillante dans son domaine. 

Ce qui m'a plu cependant c'est de voir Griffin sous un nouvel œil. Alec a de la rancune face à lui et ses défauts sont mis à rude épreuve. C'est agréable pour un auteur d'avoir une confiance assez forte envers ses lecteurs pour avoir la possibilité d'égratigner un peu un de ses héros. 

Bref, une lecture du dimanche au coin du feu, sans prise de tête mais sans plus. Je reste tout de même accro à l'auteur et à ses sorties et très impatiente de lire le prochain tome sur Benito !

LE VOISIN D'EN FACE de Sebastien Theveny

le pitch:

Quand la curiosité est vraiment un vilain défaut…

Paris, Lyon, Alicante. Une série de crimes méthodiques, au modus operandi similaire.

Un suspect bien sous tous rapports, au passé lourd d’une blessure jamais refermée.

Louise, derrière la fenêtre de son appartement de Montmartre ou la vitrine de la librairie où elle travaille, s’éprend d’un inconnu au charme fou.

Bientôt, des coïncidences troublantes et des mensonges, l’incitent à voir en lui le coupable des meurtres mentionnés dans la presse.

Louise regrettera-t-elle d’avoir espionné son voisin d’en face ?

Ce qu'en pense D.:

Depuis le temps que nos "ami(e)s" auto édités parlent de Sébastien Theveny, il était temps que je me penche sur ses ouvrages.

Auteurs de thriller, on peut dire qu'il s'est fait un nom dans l'auto édition. Il n'y a qu'à voir son succès sur Amazon!

Alors me voilà partie dans son avant dernier opus sorti fin 2019, j'ai souris aux clins d'oeil des "copains" ( dont Matthieu Biasotto), à cette libraire qui vend de tout y compris des auto édités, j'ai aimé le décor parisien et notre petite Louise qui va bien grandir tout au long du roman.

J'ai malheureusement compris trop vite l'intrigue, mais j'ai aimé à la manière de Colombo découvrir comment le tueur va chuter. Nul doute que ce ne sera pas le seul roman de cet auteur que je vais lire.

LOVE LESSON 1 d'Emma Chase

 

Le pitch:

À Lakeside, dans le New Jersey, la vie de Garrett Daniels semble toute tracée. Celui qui, adolescent, était un quarterback arrogant et sexy est aujourd'hui devenu l'entraîneur de l'équipe de foot et le prof le plus cool de son ancien lycée. Il est entouré de ses amis de toujours et possède une belle maison qu'il partage avec son compagnon à quatre pattes, Snoopy. Rien ne semble pouvoir troubler cette tranquillité... jusqu'à ce que son chemin recroise celui de Callie Carpenter.

De son côté, Callie mène elle aussi une existence parfaite à l'autre bout du pays où elle vit de sa passion, le théâtre. Jamais elle n'aurait pensé devoir quitter San Diego, jusqu'à ce qu'elle soit obligée de revenir vivre à Lakeside pour s'occuper de ses parents. Elle devient alors professeure de théâtre dans son ancien lycée où elle retrouve Garrett, son premier amour.

Querelles, histoires de cœur, malentendus, hormones en ébullition... Ce retour au lycée replonge Callie et Garrett en pleine adolescence, alors qu'aujourd'hui, ce sont eux, les profs !

Ce qu'en pense D.:

Un grand classique de la comédie romantique: le lycée; les anciens élèves devenus profs et les anciens amoureux qui se retrouvent.

Rien d'original dans le scénario mais Emma Chase est une valeur sûre et vous passerez un bon moment tant avec la famille, qu'avec les élèves.

Ce qu'en pense L. :

Quel plaisir de retrouver la plume de Emma Chase. Le roman commence sur les chapeaux de roues grâce au style de l'auteur. J'ai adoré le premier chapitre de Garrett sur la présentation de SA ville. Il la présente avec détails et admiration. Emma a la capacité de nous faire rire dans la tête d'un mec de la même façon que dans Love Games.

Callie arrive de San Diego, elle est le premier amour de Garrett. Ils se sont quittés sans fracas mais avec beaucoup de non-dits. Heureux de se retrouver, ils passent rapidement par la case "amants". 

Au delà du duo, nous avons l'impression de vivre au milieu de cette communauté. Parfois dans leurs familles et d'autres fois au milieu du lycée en salle des profs. 

Nous rions du côté "Glee" que peuvent apporter les interventions des élèves et nous levons les yeux face au côté ultra patriotique de l'équipe de foot américain. On est aux US, la vrai Amérique avec sa fierté et son côté sur de soi. Garrett et son petit côté macho en est le premier représentant. Il arrive cependant à créer un lien de confiance et de respect avec ses élèves ce qui adoucit son image. Callie est moins armée face à cette horde d'élèves. Sans expérience, elle va devoir leur donner le goût du théâtre : modèle d'expression et d'anti solitude, va-t-elle réussir son pari ? 

Ce roman a pour but de détendre et amuser le lecteur et pour moi c'est une réussite. Vivement le tome 2 sur Dean le musicien prof de maths !

AU CAFE DU BONHEUR de Lucy Diamond

Le pitch

Evie Flynn a toujours été le mouton noir de sa famille si parfaite : une rêveuse, vagabonde dans l'âme, contrairement à ses soeurs aînées. Elle s'est d'abord rêvée actrice, puis photographe et chanteuse, mais sans grand succès.
Lassée de ces échecs, elle s'est construit une vie raisonnable : entre un travail qu'elle déteste et un fiancé très terre à terre (pour ne pas dire ennuyeux), elle regarde sa vie défiler sous ses yeux jusqu'au décès de sa tante préférée dans un accident de voiture. Jo lègue à sa nièce le petit café qu'elle tient sur le port de Carrawen Bey.
Déterminée à prendre son destin en main, Evie n'hésite pas longtemps avant de tout plaquer pour partir découvrir les Cornouailles et l'héritage qui lui est offert, sans se douter des rencontres qui vont bouleverser son destin 

Ce qu'en pense L. :

Un peu dans la veine du Cupcake Café ce roman m'a fait passer un excellent moment durant les premiers jours de confinement. 

J'aime tellement ces histoires de communauté de gens qui s'entraident les uns avec les autres. De plus cette histoire raconte comment Evie à la mort de sa tante, va remettre à flot le café du coin, et cela produit en moi un double plaisir car je suis fan des histoires de petites entreprises. En gros ici, tout était réuni pour que cette histoire coche les 5 étoiles. 

Je ne connaissais absolument pas cet auteur et je me suis précipité sur Amazon afin de voir si d'autres titres étaient traduit en français...seulement un :-/ malheureusement.

Un vrai coup de cœur !

MAMMA MARIA de Serena Giuliano

 Le pitch:

Un ristretto d'Italie.

" Ciao, Sofia, qu'est-ce que je te sers ? Comme d'habitude ? Et j'ajoute un cornetto, parce qu'il faut manger, ma fille !

– Oui, merci, Maria. "

Je m'installe en terrasse, face à la mer, comme chaque matin depuis que je suis de retour en Italie. J'aime bien travailler au son des tasses qui s'entrechoquent. Et, au Mamma Maria, j'ai toujours de la compagnie. Il y a ceux qui viennent tuer le temps. Il y a les enfants qui rêvent devant le comptoir à glaces. Il y a les ados qui sirotent un soda, monsieur le curé, et, surtout, mes partenaires de scopa.

Ici, on vient échanger quelques mots, partager un apéro, esquiver la solitude ou écouter Celentano. Moi, je viens pour me persuader que j'ai bien fait de quitter Paris... et l'autre abruti.

Il fait quand même meilleur ici.

Et puis, on cherche aussi à profiter de la bonne humeur (ou non) de Maria, qui mène, comme une mamma, tout ce petit monde à la baguette.

Bref, j'ai enfin retrouvé mon village paisible.

Enfin, paisible jusqu'au jour où...

Ce qu'en pense D.:

Pour mes 40 ans je rêvais d'Italie, de Naples, de la côte Amalfitaine, de paysages splendides et de nourriture alléchante. Malheureusement cela n'avait pas été possible mais après cette lecture nul doute que ce sera une de mes premières destinations post Covid.

C'est un beau roman, une ode à l'Italie avec toutes ses qualités et ses défauts. Le café de Maria c'est l'âme du village, tout le monde y vient que ce soit pour un café rapide ou une partie de carte pour l'après midi. C'est intergénérationnel et incontournable.

Sofia et Maria nous raconte leurs vies dans ce petit paradis. Et c'est ainsi que l'inconnue arrive et chamboule un peu leur vie.

J'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur, j'avoue ne pas avoir écouté la playlist fournie mais nul doute que nous sommes dans le grand classique italien ( genre notre Frédéric François!)

Je découvre cette auteure grande amie de Virginie Grimaldi et on peut dire qu'elle a autant de talent pour nous faire voyager!

Ce qu'en pense L. : 

Durant ma semaine de vacances au Pays Basque au mois de juillet, je n'ai lu qu'un seul roman : le roman parfait ! La qualité est souvent bien meilleure que la quantité.  

A la fin de ma lecture je me suis précipité sur mon groupe WhatsApp réservé aux copines pour vanter ce voyage littéraire. 

L'auteur Serena Giuliano nous raconte l'histoire d'un village niché sur la côte Amalfitaine en Italie. En son centre le bar du village fait office de lien social. Tenu par Maria, figure locale, les habitants le surnomme le Mamma Maria. On découvre des octogénaires jouant à la Scopa, des gamins venant chercher leur boule de glace à la sortie de l'école : des tranches de vies qui nous font oublier le fossé intergénérationnel. En tournant les pages ont retrouve dans notre bouche le goût des tagliatelles à la fameuse sauce tomate et mozza Di Buffala, on sent l'odeur du café ristretto, et on voyage de villages en villages grâce aux cartes postales de Sofia.

J'ai été bluffée par l'ouverture des sens qu'a pu me procurer ce bouquin.  Il est généreux, respectueux de l'Italie mais également réaliste. Il ne nous montre pas que le bon côté du pays. On parle aussi de racisme, de peur de l'inconnu, mais la plume de Serena réussi à transcrire le chauvinisme des habitants avec beaucoup d'humour et de tendresse. 

Un énorme coup de cœur que j'ai découvert par hasard grâce à la vidéo Instagram de lancement du dernier roman de son amie Virginie Grimaldi. 

Finalement c'était écrit, ce roman devait me rencontrer et vice versa. 

Je conseille également la page Instagram de Serena qui est drôle, loufoque et pleine d'infos (notamment la recette du célèbre Amalfitano).

CELLES QUI RESTENT de Samuelle Barbier

 

Le pitch

Celles qui restent est une histoire de soeurs. De femmes. De liens si puissants que les rompre bouleverse tout.

Celles qui restent est une histoire de soeurs. De femmes. De liens si puissants que les rompre bouleverse tout.

Clara est l'aînée, la sage, l'exemple à suivre. Celle qui fait tout comme il se doit, quitte à grincer des dents en se forçant à sourire.

Constance est la cadette. Si discrète, qu'on en oublie qu'elle existe... jusqu'à ce qu'elle décide de cesser d'exister en se jetant du haut d'un pont.

Lucy est la benjamine. Celle qui rit trop fort, parle trop fort, vit trop fort. Parce qu'elle a peur qu'on l'oublie.

Mais il y a aussi Marielle, qui elle, n'a ni soeur, ni frère, ni enfant, tout juste un vieux chien obèse. Celle qui a consacré sa vie aux autres pensait arriver au bout de son chemin dans l'indifférence,jusqu'à ce qu'un ange vêtu d'un manteau rouge se jette d'un pont, juste devant

elle, et remette tout en question.

Ce qu'en pense L. :

Une belle surprise. 

J'ai choisi ce roman sur Net Galley par curiosité. J'ai n'ai pas l'habitude de lire ce genre de roman chez Hugo. Merci à eux pour ce service presse très particulier. 

Quatre narratrices, 3 sœurs : Clara Lucie et Constance. Cette dernière joue un rôle central et déclencheur dans l'histoire car nous vivons en direct son suicide du haut d'un pont. Pas banal ! Suite à cet évènement nous rencontrons notre quatrième narratrice Marielle, spectatrice bien malgré elle de ce saut dans le vide. 

L'histoire nous raconte la gestion du deuil et le bouleversement que cela peut produire sur notre existence. Alors, certes l'histoire est romancée mais je suis de celles qui pensent que nos blessures nous rendent plus fort et parfois meilleur. 

Jeter le superflu pour ne conserver que le vital à notre bien-être : ici comprendre le geste de Constance puis la survie de "Celles qui restent". 

Je ne connais pas Samuelle Barbier pourtant j'ai entendu des éloges de son premier roman "La Sirène et le scaphandrier". Une bonne idée lecture qui se lit très vite (à peine plus de 200 pages), à découvrir sans tarder.

RENOUVEAU de Sarina Bowen

 

Le pitch:Pas de noms de famille. Pas de passé. Telles étaient les règles. Un best-seller au classement du USA Today ! Il était une fois un touriste aux cheveux cuivrés, plein de charme et d’assurance. Il est entré dans le bar de Zara, et au mépris de la raison, la jeune femme s’est offert un remède contre le blues de la campagne. Ce devait être une aventure sans prise de tête – quelques semaines torrides avant qu’il retourne à sa vie et qu’elle reprenne la sienne. Jusqu’à ce qu’une grossesse inattendue vienne bouleverser la vie de Zara.Deux ans plus tard, elle a fini par accepter qu’elle ne retrouverait jamais le fameux Dave de Brooklyn. Jusqu’à cette soirée d’été, quand il entre dans son café avec ce même sourire brûlant qui lui fait oublier toutes ses défenses. Dave Beringer, star du hockey, n’a jamais oublié le mois intense qu’il a passé avec la pétillante Zara. Avec elle, c’était la première fois qu’il vivait une véritable intimité. Mais en apprenant l’existence de l’enfant, il a le choc de sa vie. Son passé douloureux l’empêche d’avoir une relation de couple et une famille. Vraiment ? La campagne du Vermont n’a pas son pareil pour guérir même les âmes les plus tourmentées. Les champs et les vergers, ainsi que l’amour durement conquis, sont propices au Renouveau.Ce qu'en pense D:

Un coup d'un soir qui devient, le plan Q d'un été, c'était le plan pour Zara et Dave, mais la vie aura décidé de les liés pour toujours. Bien malgré lui Dave découvre qu'il père d'une petite fille de 15 mois, alors qu'il pensait retrouver la femme qu'il n'avait pas oublié. Alors sort tes rames Dave car ta belle va avoir un peu de mal à te faire confiance et à te laisser prendre ta place dans son duo avec sa fille.

J'aime toujours autant le décor du Vermont et les histoires de la famille Rossi. Les grands espaces et les étés torrides.

Comme d'habitude dévoré en 48h, il va maintenant falloir attendre pour découvrir l'histoire d'Alec l'un des frères de Zara. J'avoue j'espérais un tome sur Benito ( le jumeau) mais peut être une prochaine fois!

Ce qu'en pense L. :

J'ai quitté ma lecture en court il y a quelques jours à la sortie de ce dernier roman de Sarina Bowen. La magie opère toujours avec cette histoire. Je ne sais pas si c'est l'écriture, le décor du Vermont, les personnages ou tout cela réuni, mais à chaque fois j'ai du mal à décrocher. Je suis impatiente de connaître la suite (ou les suites car il y a en tout 7 tomes à cette saga pour le moment). Je prochain est effectivement sur Alec et May mais apparemment que D. se rassure Benito aura aussi son histoire. 

Dans tous les cas vous pouvez commencer par profiter pleinement du charme de Dave et de l'indépendance de Zara. Faire des câlins à la petite Nicole et retrouver quelques uns des anciens personnages des tomes précédents.