lundi 14 septembre 2020

CELLES QUI RESTENT de Samuelle Barbier

 


Le pitch

Celles qui restent est une histoire de soeurs. De femmes. De liens si puissants que les rompre bouleverse tout.

Celles qui restent est une histoire de soeurs. De femmes. De liens si puissants que les rompre bouleverse tout.
Clara est l'aînée, la sage, l'exemple à suivre. Celle qui fait tout comme il se doit, quitte à grincer des dents en se forçant à sourire.
Constance est la cadette. Si discrète, qu'on en oublie qu'elle existe... jusqu'à ce qu'elle décide de cesser d'exister en se jetant du haut d'un pont.
Lucy est la benjamine. Celle qui rit trop fort, parle trop fort, vit trop fort. Parce qu'elle a peur qu'on l'oublie.
Mais il y a aussi Marielle, qui elle, n'a ni soeur, ni frère, ni enfant, tout juste un vieux chien obèse. Celle qui a consacré sa vie aux autres pensait arriver au bout de son chemin dans l'indifférence,jusqu'à ce qu'un ange vêtu d'un manteau rouge se jette d'un pont, juste devant
elle, et remette tout en question.

Ce qu'en pense L. :

Une belle surprise. 
J'ai choisi ce roman sur Net Galley par curiosité. J'ai n'ai pas l'habitude de lire ce genre de roman chez Hugo. Merci à eux pour ce service presse très particulier. 
Quatre narratrices, 3 sœurs : Clara Lucie et Constance. Cette dernière joue un rôle central et déclencheur dans l'histoire car nous vivons en direct son suicide du haut d'un pont. Pas banal ! Suite à cet évènement nous rencontrons notre quatrième narratrice Marielle, spectatrice bien malgré elle de ce saut dans le vide. 
L'histoire nous raconte la gestion du deuil et le bouleversement que cela peut produire sur notre existence. Alors, certes l'histoire est romancée mais je suis de celles qui pensent que nos blessures nous rendent plus fort et parfois meilleur. 
Jeter le superflu pour ne conserver que le vital à notre bien-être : ici comprendre le geste de Constance puis la survie de "Celles qui restent". 
Je ne connais pas Samuelle Barbier pourtant j'ai entendu des éloges de son premier roman "La Sirène et le scaphandrier". Une bonne idée lecture qui se lit très vite (à peine plus de 200 pages), à découvrir sans tarder.


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