vendredi 15 avril 2016

Notre Auteur du mois d'avril : FRED VARGAS



Fred Vargas

- de son vrai nom Frédérique Audoin-Rouzeau - est née en 1957. Médiéviste et titulaire d'un doctorat d'Histoire, elle est chercheur en Histoire et Archéologie au CNRS. La quasi totalité de son oeuvre - les «rompols» comme elle appelle ses textes policiers - est publiée chez Viviane Hamy. A plusieurs reprises primée, adaptée au cinéma et à la télévision, elle est traduite dans plus de 40 langues, et ses livres sont des best-sellers en France mais également en Allemagne et en Italie.






Le pitch:

" Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors ? "
Depuis quatre mois, cette phrase accompagne des cercles bleus qui surgissent la nuit, tracés à la craie sur les trottoirs de Paris. Au centre de ces cercles, prisonniers, un débris, un déchet, un objet perdu : trombone, bougie, pince à épiler, patte de pigeon...
Le phénomène fait les délices des journalistes et de quelques psychiatres qui théorisent : un maniaque, un joueur.
Le commissaire Adamsberg, lui, ne rit pas. Ces cercles et leur contenu hétéroclite sont de mauvais augure. Il le sait, il le sent : bientôt, de l'anodin saugrenu on passera au tragique.
Il n'a pas tort. Un matin, c'est le cadavre d'une femme égorgée que l'on trouve au milieu d'un de ces cercles bleus.


Ce qu'en pense D

J'ai entendu parlé de Fred Vargas lors d'un reportage sur le salon du livre de Paris, comme quoi on en découvre tous les jours. Je me suis donc intéressée à ses oeuvres. J'ai choisit celui ci, bien que sorti en 2005, car le titre m'intriguait. Je ne vais pas vous mentir j'ai eu du mal avec la 1er moitié du livre. Personnages décalés, style narratif bien différent, contexte inexistant. J'ai eu l'impression d'être dans une vielle série française. Personnages loufoques au phrasé bizarre, fumant clope sur clope et buvant plus que de raison. Mais d'un coup une logique policière s'installe et la lecture devient plus fluide, le mystère reste entier jusqu'à la fin.
Je ne peux que souligner l'originalité et l'intrigue finement menée. Le commissaire Adamsberg sans en avoir l'air est une vraie pointure.

Ce qu'en pense L :

Alors moi je suis la mauvaise élève du mois car tellement prise par mes romances j'ai pas pris le temps de m'accrocher à ce roman. Il est vrai qu'à la différence de Matthieu Biasotto le mois dernier, on rentre pas dans l'intrigue de façon  immédiate, c'est un peu long, mais je me dis qu'il va falloir que je persévère car on fait pas de reportage TV sur n'importe qui ... donc à voir c'est sûrement un roman que je prendrai le temps de lire cet été pendant les vacances !

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