Le pitch
Avec l'autodérision et la lucidité qui la caractérisent, Nora continue d'explorer l'époque et d'en subir les absurdités.
Des cigarettes en chocolat à la clope électronique, du Nokia 3310 à l’Iphone, de Snake à Instagram, elle nous livre le récit de son passage à l’âge adulte sans passer par la case Tinder.
Partagée entre l’envie d’avoir des likes et la nostalgie du temps d’avant les réseaux sociaux, elle se demande comment évoluer sereinement dans un monde où tout ce qui nous entoure n’existait pas au moment de se construire.
Parfois mélancolique, souvent acide et toujours drôle, Nora dresse un portrait-robot sans fard de nos névroses à tous.
Hyperactive, Nora Hamzawi partage ses humeurs sur tous les fronts (France Inter, Quotidien, Grazia et Vanity Fair) et son nouveau spectacle décapant cartonne à travers la France.Après le succès de 30 ans (10 ans de thérapie), aux éditions Mazarine (puis Marabout), elle a sélectionné le meilleur de ses chroniques qu’elle enrichit de nombreux inédits, illustrées par Thibault Milet.
Des cigarettes en chocolat à la clope électronique, du Nokia 3310 à l’Iphone, de Snake à Instagram, elle nous livre le récit de son passage à l’âge adulte sans passer par la case Tinder.
Partagée entre l’envie d’avoir des likes et la nostalgie du temps d’avant les réseaux sociaux, elle se demande comment évoluer sereinement dans un monde où tout ce qui nous entoure n’existait pas au moment de se construire.
Parfois mélancolique, souvent acide et toujours drôle, Nora dresse un portrait-robot sans fard de nos névroses à tous.
Hyperactive, Nora Hamzawi partage ses humeurs sur tous les fronts (France Inter, Quotidien, Grazia et Vanity Fair) et son nouveau spectacle décapant cartonne à travers la France.Après le succès de 30 ans (10 ans de thérapie), aux éditions Mazarine (puis Marabout), elle a sélectionné le meilleur de ses chroniques qu’elle enrichit de nombreux inédits, illustrées par Thibault Milet.
Ce qu'en pense L. :
J'ai connu Nara Hamzawi grâce à ses chroniques dans l'émission Quotidien. J'ai rapidement accroché à son humour sans filtre, piquant mais toujours bienveillant.
Ce roman est à l'image de ce qu'elle a pu présenter à la TV : le style d'écriture en est un peu déroutant, Nora écrit comme elle raconte ses chroniques télé ou radio. Il faut connecter avec la rapidité des mots qui vont chercher une idée à un point A pour arriver 3 virages plus loin au point F. Il faut suivre, mais dès que vous avez pris le coup c'est GENIAL !!
Etant née dans les années 80, la mode des années 90 sous toutes ses formes ça me parle....
Ses références : Angéla Bower (Madame est servie) et la Boum. Petit clin d'œil où elle explique le moment où elle est passée de Vic à Françoise Beretton...on en est toutes là.
Au delà de l'humour on sent que Nora manque d'un peu de confiance en elle. Ses tacles envers son "amie" parfaite Adélaïde en son la preuve. Il va falloir lui offrir des appareils auditifs avec tous les acouphènes qu'elle va avoir la pauvre....
Elle est tiraillée entre l'époque sans portable et celle d'aujourd'hui ultra connectée. Pas de jugement, elle ne fait pas une généralité du "C'était mieux avant" c'est la force du roman je trouve. Malgré tout on la sent nostalgique d'une époque où nous n'étions pas obligés de taguer sous 3 angles nos journées sur Insta pour exister.
Elle nous fait pointer du doigts la mise en scène marketing et économique de notre société avec l'exemple du "petit caviste", tatoué et mannequin à ses heures perdues où l'achat dans son magasin devient une expérience à part entière.
A souligner également les illustrations fabuleusement représentatives de Thibault Milet.
Bref, choc de deux époques, mélancolie, nostalgie et pourtant parfaitement habile dans les années 2020. Pas besoin d'un psy, juste d'un petit vin hongrois, Nora, tu es géniale !!
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