le pitch:
Réelle rencontre avec les lecteurs ou simple coup marketing ? À Northwood, les gens du coin s’agglutinent, livres en main, devant une cage noire en verre trempé : la Black box. Trois mètres par trois, pas de smartphone, pas de selfie, une personne à la fois. Il paraît qu’à l’intérieur, le Prince du Noir signe dans la pénombre. Et il y a foule pour croiser ne serait-ce que quelques secondes, l’auteur de best-sellers dont personne ne sait rien.
Personne à part elle…
Elle n’est pas une simple lectrice. Dix ans se sont écoulés, Cassy n’a aucune intention de reculer. Elle est prête. Prête à tout. Même à entrer dans cette cage.
Ce qu'en pense D.:
Alors encore un grand merci à Matthieu de nous avoir intégré dans son service presse.
Maintenant comment parler de Clay sans tout dévoiler, c'est la grande question.
Je dirais que l'auteur avec cette deuxième romance commence a réellement maitriser le style.
Le démarrage est sombre et mystérieux, beaucoup de question se pose sur Clay et son aura d'auteur de best seller. Cassy, elle, va bousculer l'histoire et faire en sorte de démasquer l'auteur.
Le sujet est bien abordé, il aurait pu être épineux mais finalement il est maîtrisé et audacieux. Vous êtes frustrés??? normal j'ai décider de ne rien révéler de plus que le pitch !
J'ai adoré! J'ai plongé dès les premières pages. J'aime ces histoires un peu tordues et sombres, d'où la lumière jaillit envers et contre tout.
Ce qu'en pense L. :
Assez compliqué pour moi de donner un avis objectif sur ce roman car les idées se contredisent dans ma tête : je m'explique. En temps que bonne lectrice de romance j'aime que le héros masculin me fasse rêver hors, ici Clay est trop torturé pour moi. Je trouve que sa part de sombre prends le pas sur le "rêve" que peut apporter une romance. Pourtant c'est également ce qui démarque cette histoire, qui n'est pas comme les autres. Le couple est assez unique et leur difficultés peu abordées dans d'autres histoires que j'ai pu lire.
De plus la plume de Biasotto est toujours aussi fantastique. A noter que les scène intimes sont belles et poétiques à l'image du style de l'auteur.
Il me semble qu'il y a du Matthieu en Clay sur certains des aspects.
Cassy est plus enfantine, plus égoïstes sur certains côtés également. J'ai eu du mal à m'attacher à elle souvent ballottée entre son rôle de mère et celui de femme.
Cela reste malgré tout un excellent roman loin de la caricature facile du style "romantique". Ici c'est une peu Roméo et Juliette où l'amour lute contre la bienséance et le qu'en dira t'on ...
Une réussite comme toujours !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire